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Chloé à Saint Martin, devant Saint Barth' |
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La devise des Iles Vierges Britanniques : " Veillez !" comme les vierges sages, tandis que les vierges folles n'avaient plus d'huile dans leur lampe au moment d'accueillir l'époux. |
Les Îles
Vierges. Un archipel de plus de 100 îles étalées sur une
cinquantaine de milles à l’Est de Porto Rico, partagé ente la
Grande Bretagne (B.V.I.) et les Etats-Unis (USVI), et formant un
labyrinthe abritant des criques idéales pour le mouillage ;
découvertes par Christophe Colomb et baptisées ainsi à cause de
leur multiplicité, en hommage aux 11000 vierges martyres de Sainte
Ursule massacrées par Attila. Catherine sera heureuse de raconter
cette belle histoire à ceux qui la lui demanderont.
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Passage du pont levant in extremis, pour quitter la lagune de Simpson Bay, à Saint Martin : nous avons failli perdre une nuit de navigation, une journée de croisière.... |
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A nous, les Iles Vierges ! |
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Elise arbore fièrement son "2 pièces "! |
Avant de
penser à la transat-retour qui approche, nous nous préparons à
accueillir successivement les familles d’Emmanuel pendant une
semaine, puis de Paul pendant 12 jours, pour explorer ce dédale
d’îles vertes et basses situées à 70 milles à l’WNW de Saint
Martin où Claire, François et Hélène, notre équipage précédent,
viennent de nous quitter.
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Clémentine et sa prise : un délicieux tazard |
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Alexandre, très à l'aise sur Alfred |
Comme
une malédiction, l’escale à Saint Martin a été une escale
technique lourde. Il y 4 ans, le temps d’escale avait été
consacré (vainement) à la réparation du pilote d’Alfred ;
cette fois-ci, il s’agissait surtout de réparer la fixation du
guindeau délabrée à Saint Kitts afin de pouvoir aborder les
nombreux mouillages forains qui nous attendent aux Îles Vierges.
Dominique espère découvrir Saint Martin avant d’aborder la
transat dans 3 semaines… ou alors il faudra qu’Alfred revienne
encore un coup de ce côté de l’Atlantique.
Emmanuel,
Caroline, Pauline, Clémentine, Alexandre et Elise
Samedi
1er
avril dans l’après-midi, nous avons la grande joie d’accueillir
Emmanuel, Caroline et leurs quatre enfants à Saint Martin. Catherine
est allée les chercher à l’aéroport Juliana pendant que
Dominique terminait la préparation d’Alfred : ligne de
mouillage à nouveau opérationnelle et filets de protection sur les
filières pour les petits. Ils arrivent à bord à 16h30 et nous
entamons une course de vitesse pour pouvoir appareiller le soir même
et sortir du port de Marigot avant le fermeture du pont à 17h30 :
faire la clearance de sortie, faire les pleins de GO, rendre la
voiture de location… C’est chose faite à 18 heures, Alfred est
libre, et nous pouvons prendre un premier ti’punch de bienvenue au
coucher du soleil puis dîner avant la traversée de 70 milles
jusqu’à Virgin Gorda.
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Elise et Caroline, des Brésiliennes addictes de mer, de plage, de soleil..... |
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Emmanuel, expert en ti'punch |
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Après les fonds blancs martiniquais, l'apéritif en mer est une habitude familiale qui se transmet.... |
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White Bay, sur Guana Island |
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Clémentine devant la tête d'iguane de Guana Island |
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Sur Eustatia Island, 4 ans après Los Canarreos à Cuba, avec Elise en plus, et tous devenus poissons.... |
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Eustatia Island, une belle-fille, une belle-mère et ses "coussins" |
Pour
Emmanuel, Caroline et pour nous, c’est un moment particulier :
il y a 14 ans jour pour jour, ce sont eux qui nous accueillaient dans
les mêmes circonstances lors de leur périple transatlantique sur
‘’Astrée’’. Maintenant, ce sont eux qui nous rejoignent sur
‘’Alfred’’ avec leur quatre enfants pour redécouvrir ces
îles qui nous avaient enchantés : Virgin Gorda, Tortola, Jost
Van Dyke etc…
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Panorama des Baths, au sud de Virgin Gorda |
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Pauline aux Baths |
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Et Clémentine se prélasse... |
En panne
d’Alizé, après une nuit de moteur sous la lune naissante, nous
arrivons en vue de Virgin Gorda le dimanche 2 avril au petit matin.
Les enfants, encore en décalage horaire, se sont réveillés avec le
jour. Les lignes sont rapidement mises à l’eau par Clémentine et,
à l’approche de la côte, elle nous remonte un beau tazard de 2,5
kilos qui nous fera une bonne salade tahitienne pour le déjeuner.
Peu après 10 heures, nous entrons par une passe entre les récifs
dans Eustatia Sound
pour un premier mouillage-plongée. Nous passons le reste de la
journée à explorer les baies à l’abri des récifs au nord de
Virgin Gorda et passons notre première nuit au mouillage, à l’abri
sous le vent de Eustatia
Island.
Après
avoir fait notre clearance d’entrée à Spanish
Harbour, nous restons le
reste de la journée du lundi 3 avril à Tortola
au mouillage des Baths :
c’est un gigantesque chaos d’énormes blocs de granit enchevêtrés
le long des plages de sable blanc, un paysage qui rappelle à la fois
Ploumanac’h et les Seychelles, mais à l’échelle 10 ! Les
enfants se régalent à explorer jusqu’au soir ce dédale où la
marée s’insinue et nous restons au mouillage pour la nuit.
Commence
alors notre pérégrination dans les Îles Vierges avec tous les
jours le même programme dont nous ne nous lassons pas, fait
d’arrêts-plongée d’arrêts-déjeuner et de mouillages pour la
nuit. C’est d’abord un premier arrêt-snorkeling à Marina
Cay : les enfants
d’Emmanuel suivant dignement les traces de leur papa sont dans
l’eau avec palmes et masques dès que le bateau est mouillé prés
des cayes. Chacun raconte les merveilles qu’il a vues, les tortues
suivies sous l’eau, les couleurs des poissons… la petite Elise
qui n’était pas sur Alfred à Cuba il y a quatre ans, découvre le
monde sous-marin et n’est pas la dernière ! Belle soirée et
beau mouillage le soir devant la superbe plage de White Bay sur Guana
Island ; Caroline et
Emmanuel sont heureux de retrouver tous ces lieux après 14 ans et de
les faire découvrir à leurs enfants.
Poursuite
de cette re-découverte le lendemain vers l’île de Jost
Van Dyke. Même programme
de plongées, plages et châteaux de sable jusqu’au mouillage du
soir à White Bay (encore
une) au
sud de l’île. De là, nous partons à pied dîner dans la baie
voisine de Great Harbour,
invités par Caroline de
Emmanuel chez Foxy’s,
ce restaurant mythique au bord de la plage où le rhum coule à flot
et où les Américains viennent s’encanailler…. Les enfants sont
très à l’aise dans cette ambiance musicale sous les cocotiers où
nous prolongeons un peu la soirée, le temps pour Caroline et
Emmanuel de s’éclater en dansant quelques rocks, les pieds nus
dans le sable, comme il y a quatorze ans….
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Sandy Spit |
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Chez Foxy's, 14 ans et 4 enfants plus tard.... |
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Que de merveilles à découvrir ! |
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Clémentine comme son père plonge sans arrêt pour admirer au plus près ce monde du silence |
Le
lendemain jeudi 6 avril, la brise est fraîche et nous faisons route
sous grand-voile et génois réduits vers la partie sud de l’archipel
et louvoyons dans le dédale d’îlots qui séparent Tortola
des USVI. Petit arrêt aux
Etats-Unis pour rompre la journée et déjeuner dans Haulover
Bay sur l’île Saint
John (US), puis poursuite
de la route jusqu’à Norman
Island, « l’Île au
Trésor ». Nous resterons un long moment dans cette île dont
les grottes remarquables, The
Caves, inspirèrent
Stevenson, à faire des plongées magnifiques dans les grottes et à
Pelican Island,
toute proche.
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The Indians, près de Pelican Island |
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Clémentine, poisson parmi les poissons |
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Un sergent-major |
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Le poisson perroquet mâle dit bonjour au monsieur |
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Les chirurgiens nettoient notre coque |
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Un tête bleue devant les cerveaux |
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Un Manet inconnu |
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Le remora est un mauvais nageur et préfère se scotcher à un gros poisson, une baleine, un dauphin, une raie, une tortue, un bateau, etc.... |
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Un quatre yeux |
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Pauline danse sous l'eau |
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| Clémentine | | | | | |
Norman
Island abrite un magnifique mouillage dans une large baie, The
Bight, où nous avons la
surprise de retrouver Alan et Nolwenn et leur fille Suzanne, de
jeunes amis vannetais déjà croisés à la Martinique et à Marie
Galante. Emmanuel profite de cet abri au calme pour faire une
inspection soignée du gréement dormant en vue de la prochaine
transat. Pauline et Clémentine réclament aussitôt de grimper aussi
là haut pour aller voir la pomme du mat ; cette prouesse leur
donne l’idée d’autres jeux possibles consistant à se jeter à
l’eau en se suspendant aux drisses : tous les enfants y vont
de leur acrobatie et nous restons un peu de temps à nous en amuser.
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Pauline danse dans le ciel |
La
semaine s’est trop vite écoulée et il est temps de rejoindre
l’aéroport de Tortola… Après une dernière nuit au mouillage de
Marina Cay,
nous venons mouiller à Trellis
Bay le matin du samedi 8
avril. Le mouillage est à un coup de pagaie de l’aérogare et
c’est l’heure des adieux…. mais c’est aussi le début d’un
petite galère pour nos six voyageurs : avec beaucoup de peine,
nous arrivons à obtenir quelques informations… l’avion a plus de
3 heures de retard ce qui compromet pour nos voyageurs la possibilité
de la correspondance vers Paris à Saint Martin. Ils restent
néanmoins sereins devant l’adversité et nous prenons un dernier
déjeuner ensemble dans une gargote au bord de l’eau… Finalement
tout se passera bien, le vol Air Caraïbe les aura attendus à
l’aéroport Juliana … et ils auront même eu la possibilité de
croiser en coup de vent la famille de Paul qui vient de Paris
rejoindre Alfred !
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Devant Trellis Bay, après l'enregistrement |
Paul,
Clémentine, Jules et Chloé
Quelques
heures après le départ de la famille d’Emmanuel et Caroline, nous
accueillons celle de Paul et Clémentine ; Jules et Chloé sont
épuisés par ce long voyage et vont vite se coucher et, après le
traditionnel ti’punch de bienvenue et un rapide dîner, leurs
parents ne tardent pas à faire de même.
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montée au cocotier sur White Bay, de Guana Island |
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Monkey Point, sur Guana Island |
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Enôôôrme tazard, pris par Jules |
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et presqu'aussi grand que Clémentine |
Réveil
aux aurores le lendemain dimanche 9 avril par une Chloé en pleine
forme toujours calée sur le fuseau horaire de Paris. Nous nous
adapterons à un décalage horaire adoptant des horaires d’hôpital
pendant quelques jours : ptit’dej à 6 heures, déjeuner à 11
heures, dîner à 18h et tout le monde au lit à 20 heures !
Notre nouvel équipage commence à faire la connaissance du paradis
où nous sommes en faisant une courte navigation jusqu’à Guana
Island, le temps est
magnifique pour ce premier après-midi de plage et de plongée.
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Kite à Sandy Spit |
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Great Harbour, sur Jost Van Dyke |
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Initiation au hamac sur Jost Van Dyk |
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Une jolie pirate blonde boit son biberon |
Le vent
se lève le lendemain matin et Paul est heureux de pouvoir justifier
l’encombrant matériel de kite-surf qui envahit la plage avant
d’Alfred. Nous tirons un long bord pour trouver un bon spot pour
lui, sous le vent de l’îlot Sandy
Spit, à l’Est de Jost
Van Dyke et Paul peut
s’éclater dans une bonne ‘’session’’ de kite pendant que
Jules et Chloé s’amusent sur la plage. Nous y restons toute
l’après-midi et allons mouiller le soir dans la profonde baie de
Great Harbour.
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Le raisinier porte bien son nom |
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Ranger ! que d'émotions à contempler..... |
Mardi 11
avril, même itinéraire que celui suivi cinq jours plus tôt avec
Emmanuel et Caroline : louvoyage pour passer entre les îles à
l’W de Tortola en direction de Norman
Island, ‘’l’Île au Trésor’’.
L’eau est magnifiquement calme et transparent pour des plongées
sur The Indians,
à côté de Pelican Island
et dans les grottes de The
Caves. Nous nous régalons
tellement que nous y retournerons le lendemain après la nuit dans la
baie The Bight
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Chirurgiens bleus sur corail de feu doré |
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Poisson-coffre |
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Poisson-ange |
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Un monnaie caraïbes à ocelles sur une gorgone ; il servait autrefois de monnaie d'échange, d'où son nom. |
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De petits vers pissenlits jaune vif |
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Poissons cuivre, pas du tout farouches |
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En quittant the Caves de Norman Island |
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Ti'punch sur Salt Island |
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Plongée sur l'épave du RMS Rhone sur la côte de Salt Island |
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Retour sur la plage de Salt Island pour reprendre les enfants |
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Deadman'sbay, une plage de rêve sur Peter Island |
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Balade au-dessus de Deadman's bay |
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Le Peter Island Resort est très discret |
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Enorme tortue, avec son énorme rémora fuselé ; le rémora tient si solidement par sa ventouse que les pêcheurs s'en servaient pour pêcher les tortues, en lui attachant une corde à la queue. C'est en même temps pour se nourrir (de crustacés présents sur le corps des poissons) et se déplacer que le remora s'accroche. |
Le
période est exceptionnellement belle pour la plongée et Catherine
est insatiable pour assouvir sa nouvelle passion. Après la nuit du
12 au mouillage de Salt
Island, nous laissons
Clémentine et les enfants sur la plage pour voir l’épave du
navire marchand ‘’RMS
Rhone’’ jeté sur la
côte par un cyclone en 1867 et immergé entre 10 et 30 m de fond.
L’eau est parfaitement claire et nous voyons très distinctement la
partie arrière, la ligne d’arbre, l’hélice et le parquet de la
machine. Dans l’après-midi, nous poursuivons notre périple vers
Virgin Gorda
et le mouillage devant les blocs de granit de The
Baths pour une exploration
avec les enfants de ‘’Ploumanac’h sous les cocotiers’’.
Il
commence à être temps de songer au retour vers Saint Martin car le
trajet peut être délicat et pénible pour les petits : 80
milles vent debout quand l’alizé est établi. Nous avons un
créneau météo pour le faire calmement au moteur par mer d’huile
si nous partons plus tôt et c’est le choix que nous faisons. Après
les formalités de sortie à Spanish
Harbour et une dernière
journée dans la magnifique baie de Gorda
Sound au nord de Virgin
Gorda, nous appareillons au moment du coucher du soleil pour une
belle navigation vers Anguilla,
accompagnés par un superbe clair de Lune pendant la deuxième partie
de la nuit.
Nous
sommes heureux de découvrir Anguilla
où nous arrivons samedi matin 15 avril. Ce petit pays, probablement
le plus petit des Antilles avec ses quelques 15000 habitants, jaloux
de son indépendance tout en restant très attaché à la Reine
d’Angleterre, est très original par son histoire et sa géographie.
C’est une île basse où l’agriculture n’a jamais pu se
développer, qui a donc peu connu l’esclavage, et qui a orienté
résolument son économie vers la mer, la pêche bien sûr, mais
aussi développement de compagnies de navigation qui ont assuré le
transport maritime dans toutes les petites Antilles pendant des
décennies : c’est une île de marins, une île fière.
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Prickly Pear, en arrivant sur Anguilla |
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Jules est paré |
En
arrivant aux abords d’Anguilla au petit matin, Clémentine a un
immense bonheur à la fin de son quart : à plusieurs reprises,
des baleines à bosse viennent faire surface à quelques dizaines de
mètres d’Alfred ; Jules, réveillé à ce moment là, viendra
partager l’émotion de sa maman au spectacle d’une maman baleine
accompagnée de son baleineau nous disant bonjour en venant plusieurs
fois respirer à la surface tout près de nous
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Une belle maison de Road Bay |
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Essai de kite à partir du bateau |
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Ecole de sirènes à Road Bay |
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Nous devions assister, le lundi de Pâques, à une course de bateaux traditionnels (Anguilla a developpé aux XVIIIè et XIXè une activité florissante de construction de bateaux en bois ) ; avec une vingtaine d'hommes à bord, une baume à n'en plus finir, le spectacle aurait dû être superbe, mais la course a été annulée, les bateaux désarmés, car le vent soufflait trop fort |
Après
avoir passé la journée du samedi à explorer quelques îles qui
bordent Anguilla, Prickly
Pear Islands et Sandy
Island, nous trouvons un
mouillage pour la nuit sur la côte nord de l’île, à Crocus
Bay, toute proche de la
capitale de l’île, The
Valley. Nous sommes samedi
15 avril et nous voulons assister à la messe du dimanche de Pâques.
Nous nous levons tôt dimanche matin pour parcourir les 3 kilomètres
jusqu’à l’église catholique de The
Valley, mais heureusement,
sur la route, des automobilistes ont pitié des petites jambes de
Jules et Chloé et nous prennent dans leurs voitures. Nous découvrons
la ‘’capitale’’, une bourgade très aérée avec des
habitations disséminées et assistons à une messe de Pâques très
chaleureuse dans la paroisse Saint Gérard puis restons déjeuner sur
place invités à partager le repas de Pâques de la paroisse.
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Saint Martin |
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Plage du Galion |
Après
avoir profité une dernière fois des plages d’Anguilla à
Rendez-vous Bay,
nous faisons route vers Saint Martin pour entrer dans la Marina Port
La Royale le lundi dans l’après-midi du lundi 17 avril afin de
passer le pont qui sépare la baie Simpson de la mer et qui s’ouvre
à 17h30. Nous resterons à Marigot jusqu’au départ des enfants
jeudi 20 et l’arrivée de nos équipiers de la transat, Loïc,
Claude et Foucauld. Au programme de ces quelques jour, la révision
du moteur, le nettoyage des œuvres vives par Paul,
l’approvisionnement du bateau par Catherine et surtout plages,
kitesurf et shopping à Philipsburg pour profiter du dutyfree.
Départ
prévu vendredi à l’ouverture du pont à 14h30. Notre transat sera
routée par Emmanuel depuis la Russie avec une obligation de
résultat : être arrivé à Horta le 11 mai pour que Foucauld
puisse assister au mariage de sa soeur dont il est témoin. Catherine
qui assistera aussi au mariage Marie-Liesse sa filleule (et ancienne
équipière d’Alfred) rentre en France en avion et rejoindra
Alfred aux Açores jusqu’à la Bretagne.
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Au café de Paris, dans la Marina Port La Royale
arrivée de l'équipage jeudi soir pour LE départ vendredi 14h pour 2200 milles :
Loïc Jomier, Foucauld Laurent, Claude Paris |